Histoires gay originales

Nous sommes toujours en train de discuter quand Franck me prévient que nous allons nous arrêter : la pause obligatoire toutes les deux heures.

- Tu as envie de pisser ? demande Franck.

- Oui assez.

- Ok, on va y aller ensemble.

On s'arrête sur une aire de repos sans station essence. Le camion n'est pas garé très loin des sanitaires. Nous descendons ensemble. Le soleil brille. Autour de nous, il y a juste deux autres bahuts dont les rideaux sont tirés. Franck m'explique que certains routiers roulent la nuit et se reposent le matin pour aller ensuite livrer dans l'après-midi et qu'il faut respecter scrupuleusement les temps de conduite et de repos faute de quoi les flics deviennent très chiants.

Nous arrivons aux toilettes. Il me fait entrer dans les toilettes pour handicapés. Une fois la porte fermée, il me demande de me mettre à poil. Evidemment j'obtempère. J'ai vraiment envie de bander mais la cage m'en empêche.

- Assieds-toi pour pisser sinon tu vas en foutre partout avec la cage.

- Oui chef.

Franck sort son portable de sa poche et me prend en photo à poil en train de pisser. La honte ressentie, est effacée par l'excitation. Il s'approche de moi, sort sa bite et le la donne à sucer. Elle est toujours aussi bonne. Je la sens grossir dans ma bouche. Il commence à me limer la gueule, m'obligeant  à le prendre en fond de gorge. J'ai l'impression que je vais m'évanouir à chaque fois mais mon Chef maîtrise totalement la situation. Il me demande de bien lubrifier son membre car il compte m'embrocher direct. J'en frémis d'avance, à la fois d'envie et de crainte, il est quand même monté comme un âne.

Il se retire de ma bouche et me fait pencher sur les chiottes, la position est franchement humiliante. Mais je comprends mon rôle et je l'accepte. Je le sens jouer avec mes couilles et le plug. Il le retire enfin, positionne son gland sur mon trou bien ouvert et me défonce d'un coup sec. Je ne peux pas m'empêcher de gueuler. Franck me bâillonne avec sa main et me murmure à l'oreille :

- Ta gueule salope !

- Oui Chef.

- T'es là pour encaisser pas pour couiner.

- Oui Chef.

Et de fait, j'encaisse. Les coups de boutoirs qu'il m'administre me font vaciller à chaque fois. Le massage de la prostate auquel j'ai droit est particulièrement puissant et efficace puisque le sperme s'écoule de mon méat sans même que je bande. Je crois que je ne me suis jamais senti aussi chienne.

- Je vais t'inséminer salope !

- Merci Chef.

Je me campe bien sur mes  jambes et me tiens aux chiottes. Franck accélère son limage avant de m'envoyer sa purée au fond du cul. Il se retire et donne sa bite à nettoyer, ce que je fais volontiers. Franck me tend le plug et le gel.

- Pense à prendre le gel la prochaine fois, sinon tu te l'enfileras à sec. Laves-toi et rejoins-moi au camion.

- Oui Chef.

Je commence à me rincer le cul et la bite. J'entends la porte se refermer. C'est alors que je remarque que mes fringues ne sont plus là. La vache, je vais être obligé de sortir et d'aller au camion à poil et en plein jour en plus. Putain, mais ça m'excite. Je termine ma toilette sommaire. Une fois le plug remis en place, j'entrouvre la porte et jette un coup d'œil à l'extérieur. Ne voyant personne, je me risque à l'extérieur et cours aussi vite que possible vers le camion. Croyez-moi si vous voulez, mais courir avec un plug ce n'est pas simple. Je vois dans le camion Franck qui me regarde avec le sourire. Je grimpe dans le camion essoufflé mais souriant.

- Bien joué salope.

- Tu aurais pu me prévenir !

- J'aurais pu aussi te laisser là à poil !

- Oui Chef, merci Chef.

- C'est mieux.

La CB crache alors un message : 

- Le Renault rouge, t'es la dessus ?

- Oui la station !

- Monte d'un kilo !

- Franck manipule un bouton de la CB et dit au micro :

- Ok, je suis là.

- Elle est à toi la salope qui vient de sortir des chiottes.

- Affirmatif.

- Tu la prêtes ?

- Bien sur, t'as envie de quoi ?

- De lui casser le cul, j'ai les couilles pleines.

- Pas de soucis.

- Ok tu me l'envoies dans les chiottes pour handicapés ?

- Ok de suite.

Mon chef se tourne alors vers moi :

- Je crois qu'il faut que tu y retournes.

- Je peux mettre un short, s'il te plait, chef ?

Franck jette un coup d'œil aux alentours et décide que non. Je sais que je n'ai pas à discuter. Par le pare-brise, je vois le routier, un mec bedonnant d'une cinquantaine d'année se diriger vers les chiottes. Dès qu'il est dedans, je descends du camion. Franck me demande de laisser la porte des chiottes ouverte. Je me dépêche. Je rentre dans les toilettes. Le mec est là. Il est franchement moche mais bon je n'ai pas le choix. Je me mets à genou pour le sucer. Il se laisse faire. Bandé à fond, il doit faire 10 centimètres, je ne vais pas être défoncé avec ça surtout après Franck. En tout cas, il ne va pas me casser le cul comme il disait à la CB. Mais bon un mâle est un mâle et je suis là pour servir. Il m'attrape la tête et commence à me limer la gueule. Je le laisse faire et d'un seul coup il se vide. J'avale son jus. Il n'a pas l'air content et commence à m'engueuler :

- Tu ne pouvais pas faire gaffe, je ne voulais pas jouir si vite !

- Je n'y suis pour rien !

Je me ramasse une baffe qui m'envoie rouler sur le sol. Dans un même temps, je vois ce gros con se ruer sur moi et la porte des chiottes s'ouvrir. Franck entre, chope l'éjaculateur précoce par son tee-shirt et lui allonge une mandale. L'autre va s'affaler contre le mur en grognant. Franck se précipite vers moi et demande :

- Ca va gamin ?

- Oui chef, ça va.

Franck m'aide à me relever. Pendant ce temps, le gros porc a retrouvé ses esprits et lance :

- Putain de quoi tu te mêles, cette connasse m'a fait jouir trop vite !

- Ecoutes-moi bien connard ! Cette lope est à moi. Les lopes comme lui c'est rare et précieux, alors quand je vois des abrutis dans ton genre qui ne sont même pas capables de se contenir, j'ai des envies de meurtres, Ok ?

- Calme-toi.

- Non, ferme ta gueule. Tu vas t'excuser et dis toi que c'est la dernière fois que tu le baises.

- M'excuser devant une fiotte ? Tu rigoles ou quoi ?

- Je te laisse trois secondes.

Vas crever.

Je n'ai pas le temps de voir mon Chef sauter sur le poil du routier. L'autre se retrouve à plat ventre au sol, le bras plié dans le dos. Il gueule, Franck lui colle une baffe et lui dit :

- Un bon conseil ferme la, sinon je t'explose les burnes.

Le ton de Franck ne supporte aucune contradiction. D'un coup sec, Franck arrache le pantalon de son prisonnier. Il attrape et déchire son slip. Il m'en tend les lambeaux en me demandant de lui fourrer ça dans la gueule. Je vois Franck défaire sa ceinture et après s'être masturbé un moment, il défonce le gros porc d'un coup sec. A voir sa tronche, l'autre doit avoir l'impression que les yeux vont lui sortir de la tête. Il souffle comme un bœuf pendant que mon Chef le défonce. Quand il semble en avoir assez, Franck se retire et essuie son membre sur le tee-shirt du routier qui est à moitié groggy et qui pleure. Franck se relève et dit :

- Voilà maintenant t'es un enculé et une fiotte comme tu dis !

- Salaud !

- Pas plus que toi ! Allez, viens gamin on se casse.

- Franck me prend par la taille et m'entraine vers le camion. Arrivé à l'intérieur, il me regarde et dit :

- Excuse-moi gamin.

- Pourquoi chef ?

- J'aurais dû faire gaffe. A partir de maintenant j'assisterai à tout.

En disant cela, il me prend dans ses bras et me roule une gamelle d'enfer. Je suis bien dans ses bras. Ce mec m'a défendu, il s'occupe de moi. Il tient à moi et je pense que je tiens à lui. Putain, est-ce que je suis en train de tomber amoureux ?

Sam 1 jun 2013 1 commentaire
Mmmm on commence à voir l'ambiguité de cette relation : Domination et amour.

Mais la vérité c'est que l'amour est un moyen de sublimer la domination
PatLope - le 10/03/2014 à 22h06

Trouve moi un domi qui n'aime pas son soumis et je te trouverai un non couple

Pascal