Histoires gay originales
L'impatience de Paul alla grandissant jusqu'au mercredi. Dès le premier soir, il avait fait savoir à ses parents qu'il devait aller travail un futur exposé chez un camarade de classe. Ses parents se montrèrent étonnés mais ravis que leur fils ait enfin une vie sociale.
Donc dès la dernière heure de cours terminée, Paul se précipita chez lui pris son repas et repartit vers l'adresse que lui avait donné Tony. Il sonna à la porte et attendit un peu fébrile. Après une courte attente qui lui parut éternelle, Tony ouvrit la porte et le fit entrer.
- Ok, salope fous toi à poil, on a pas beaucoup de temps pour te préparer !
- Me préparer à quoi et comment ?
Paul reçut alors une baffe comme il n'en avait jamais reçue de sa vie. Il resta un moment interdit et sans bouger pendant que Tony lui disait :
- Quand je te dis de faire quelque chose tu obéis, les questions c'est moi qui les pose ok ?
- Oui Tony.
- Bien fous toi à poil et fissa.
Paul se garda de faire la moindre remarque et commença à ôter l'ensemble de ses vêtements. Tony attrapa son slip et le déchira en disant :
- A compter d'aujourd'hui, plus de sous-vêtement salope, c'est compris ?
- Oui, Tony répondit l'adolescent, qui termina de se déshabiller rapidement.
- Bien nous allons raser tous ces poils. Tu peux avoir des poils sur la tête et sur les bras mais pas ailleurs. Ok ?
Paul était pris dans le vertige des évènements qui chamboulaient sa vie. Il n'osait pas protester et sa nature naturellement soumise semblait s'accommoder parfaitement de cet état de fait. Il risqua une remarque timide sur les cours de sport à l'école, ce à quoi Tony répondit qu'il ne serait pas le seul à s'épiler les jambes. Et puis, une chose est sûre, les mecs préfèrent les salopes rasées.
Une fois sa toilette terminée, Paul se regarda dans la glace. Il fut très étonné de ce qu'il vit. Il ne s'imaginait pas du tout comme ça. L'absence de poil l'avait rajeuni d'au moins deux ou trois ans. Tony regarda sa montre, il restait un peu de temps avant l'arrivée des premiers convives. Il fit donc mettre sa salope à genoux et lui offrit sa bite à sucer. Paul ne se fit pas prier. Il prit le membre dans sa bouche et commença la fellation demandée.
Tony lui expliqua alors le déroulement de l'après-midi. Des hommes, plusieurs, allaient venir, et se faire sucer. Pour assurer un double anonymat, Paul porterait une cagoule aveugle. Enfin d'après-midi, un homme viendrait, pour l'enculer. Paul tressaillit, et tenta de résister. Tony lui répliqua que l'homme avait payé très cher pour pouvoir défoncer un puceau.
Tony emmena Paul dans une pièce où était installé un matelas. Il lui mit ensuite un collier autour du cou. À chacun de ses poignets il mit un bracelet de cuir. Il attacha ensuite les bracelets au collier. Enfin, il lui posa sur la tête une cagoule, ne laissant qu'un trou pour la bouche et le rendant aveugle.
Seul et aveugle dans la pièce, Paul se sentait à la fois excité est effrayé. Il entendit des bruits dans la pièce voisine et la porte s'ouvrit. Tony entra. Il était accompagné. Les hommes, au nombre de deux, discutaient et riaient ensembles. Paul entendit un inconnu s'adresser à lui et lui dire :
- C'est toi le bâtard qui suce. Montre-moi comment tu t'y prends.
Paul automatiquement ouvrit la bouche. Il entendit le bruit d'une fermeture éclair qu'on descend et sentit une bite s'approcher de sa bouche. Il engouffra le membre et commença à pomper. Mais très rapidement le mâle prit le contrôle des opérations et lui lima la gueule sans autre forme de procès. Le gland allait fréquemment buter au fond de sa gorge et lui provoquait des hoquets.
Plusieurs hommes étaient arrivés dans la pièce. Paul les entendait. Ils discutaient et riaient. Il entendait Tony réclamer à chacun son écot pour pouvoir se faire pomper. Des mains parcouraient son corps et jouaient avec ses couilles et ses seins lui arrachant des gémissements.
Soudain, le mec dans sa bouche lui attrapa la tête et largua une bonne dose de foutre. Paul n'eut d'autre choix que d'avaler la liqueur et de nettoyer la bite de son premier juteur.
Merci pour ce commentaire. J'espère que la suite te plaira.