Histoires gay originales
- Oh oui, c'est bon, vas y baises moi.
- Oui, je vais te baiser lopette. T'es juste une pute à remplir comme une chienne.
Paul, allongé sur le dos, regardait Tony le besogner. Il aimait être pris par ce jeune homme et lui offrir son corps pour qu'il prenne son pied. Il aimait aussi servir de pute pour lui et se sentir trou. Pour l'instant, il se faisait prendre et profitait pleinement de la vigueur de son amant. Par moment, il faisait jouer les muscles de son anus pour intensifier leur plaisir respectif. Tony râlait dans ses moments, l'accusant de trop l'exciter mais en réalité il adorait cette stimulation.
Soudain, Tony embrassa fougueusement Paul et libéra en lui sa jeune sève brulante pour leur plus grand plaisir. Ils retombèrent ensuite sur le lit épuisé.
- Putain, c'est trop cool de baiser avec toi Paul.
- J'aime ça aussi. T'es un bon coup et en plus t'es un bon copain.
- Faut dire que tu as une chatte à convertir un hétéro.
- Ca, c'est un compliment, tu sais être romantique toi !
Les deux adolescents éclatèrent de rire. Tony se leva et se dirigea vers la salle de bain. Paul le suivi nonchalant. Une fois dans la douche, alors qu'ils se lavaient l'un l'autre, Tony dit :
- Au fait, il y a des gars de l'équipe de foot qui veulent faire un plan avec toi samedi après-midi, ça te tente ? Ils sont bien foutus mais franchement moi, je ne les sens pas.
- Samedi, c'est l'anniversaire de ma mère, je ne pourrai pas. Et puis j'ai confiance dans ton instinct si tu ne les sens pas, on ne fait pas.
- Ok ma poule. On se voit demain au bahut.
Après un vrai baiser tendre de deux amoureux, Paul termina de s'habiller et rentra chez lui. En arrivant à la maison, il embrassa sa mère qui lui demanda comment s'était déroulé sa journée. Il lui répondit que tout allait bien, la routine quoi. Elle lui demanda s'il avait vu Tony. Il répondit que oui, il venait de chez lui. Sa mère lui dit alors qu'elle aimerait bien le rencontrer. Il battit en retraite vers sa chambre en répondant qu'il allait y songer. Sa mère le regarda s'éloigner en souriant. Elle était heureuse pour son fils.
Paul arriva dans sa chambre et commença à se dévêtir pour enfiler une tenue d'intérieur plus légère. Il entendit un coup frappé à la porte et répondit d'entrer. Benoit pénétra dans la chambre lui demandant comment il allait.
- Très bien, je te remercie. Et toi ?
- J'ai eu vent que des mecs de l'équipe de foot voulaient se taper une lope samedi. C'est toi ?
- Ils ont demandé à Tony, mais samedi, c'est l'anniversaire de maman, donc pas dispo.
- Ok, cool. Fais gaffe à eux frangin, j'ai entendu des trucs sur leur compte pas très catholiques. Ils peuvent être violents à ce qu'il paraît.
- Tony non plus ne les sens pas, donc il ne se passera rien.
- Parfait. On descend manger ?
- Vas y, j'arrive.
La soirée se déroula normalement, chacun racontant l'événement croustillant de sa journée et ensuite chacun regagna sa chambre.
Le lendemain, à son arrivée au lycée, Paul fut surpris de ne pas voir Tony. Il attendit le plus longtemps possible puis regagna sa classe. Le professeur n'étant pas encore arrivé, un brouhaha indescriptible y régnait. Les jeunes étaient regroupés par affinités et les discussions allaient bon train. Un camarade de classe s'approcha de Paul et s'étonna auprès de lui de l'absence de Tony. Paul ne lui cacha pas sa perplexité, voire son inquiétude. Tony l'avait toujours averti en cas d'absence. L'arrivée de l'enseignant mit fin à la discussion et le cours démarra.
A chaque pause, Paul tenta d'appeler Tony et lui envoya plusieurs SMS, sans résultat. Vers 11 heures, l'adolescent ne cachait plus son anxiété, d'autant plus qu'il avait contacté la mère de Tony qui lui avait confirmé qu'il était parti normalement au Lycée ce matin.
Paul entendit sonner son portable, lui annonçant l'arrivée d'un nouveau courriel. Il s'empressa de l'attraper et de le consulter. Il s'agissait d'une vidéo qui mit un temps infini à se télécharger, du moins suivant les critères de Paul. La vidéo montrait Tony nu attaché à un pilier et une voix intimait à Paul l'ordre de rappeler un numéro de portable. Paul mémorisa le numéro et le composa. Le correspondant répondit dès la première sonnerie
- Allo, c'est Paul, vous m'avez demandé de vous appeler.
- Oui salope. Alors comme ça, tu as mieux à faire que venir nous voir samedi ?
- Oui, c'est l'anniversaire de ma mère.
- Espèce d'effronté, comment oses-tu nous dire non pour aller à l'anniversaire d'une pute ? Il faut être une pute pour mettre au monde un bâtard comme toi.
- Qu'est-ce que vous voulez ?
- Puisque tu n'es pas dispo samedi, tu vas venir cet après-midi pour 15heures. Je t'envoie l'adresse par courriel et pas de connerie sinon ton pote va morfler.
Le correspondant coupa la communication, laissant Paul effondré et en larme …