Jeudi 22 août 4 22 /08 /Août 18:15

Robin s'approcha alors avec le scalpel. S le regarda approcher et l'implora du regard d'en finir au plus vite, il avait beau être courageux sa résistance avait des limites. Robin comprit l'appel et entreprit de ne pas faire durer la torture. S ne vit pas mais sentit la lame approcher de ses bourses, il ferma les yeux, prêt à encaisser une douleur effrayante …   

- Robin, l'anneau.

Robin immédiatement réorienta la lame du scalpel et d'un geste sûr et chirurgical entama l'élastique qui meurtrissait les chairs de S, sans toucher à ses bourses. Cette simple entaille suffit à affaiblir suffisamment la résistance de l'anneau qui céda complètement quelques secondes plus tard. S sentit comme une décharge électrique lui parcourir le bas ventre et poussa un cri. La douleur de a libération était pire que la douleur de la pause. Robin s'écarta de S et laissa le Maitre s'approcher.

- Nous sommes très impressionné S. Ils sont rares les esclaves tels que toi et il est hors de question de les abimer. Hans, approche !

Hans approcha, incrédule.

- Oui, Monseigneur ?

- Hans, tu as fait avec S un travail remarquable. A compter de ce jour, nous te décernons le titre de Maitre. Tu peux disposer de S pour la nuit. Tâche de ne pas trop le malmener, il a déjà bien encaissé. Nous vous attendons tous deux dans nos appartements dès demain matin.

- Merci, Monseigneur, à vos ordres.

Dès que le Maitre su fût éloigné, Hans détacha S. Ce dernier, malgré ses efforts, ne put tenir debout. Deux esclaves arrivèrent et le soulevèrent. Hans le regarda et lui dit :

- Je suis très fier de toi.

- Merci, Maitre.

- Emmenez-le à ma chambre.

Les deux esclaves s'exécutèrent promptement et aidèrent S à gagner la chambre de Hans. Ils le déposèrent sur la couche. Le moelleux du lit faillit donner la nausée à S, habitué qu'il était à dormir sur le sol dur. Il resta immobile allongé sur le dos redécouvrant des sensations qu'il avait oubliées, le moelleux d'un lit, la douceur des couvertures et des draps. En tournant la tête, il vit une table sur laquelle un couvert avait été dressé. Une coupe contenait quelques fruits et deux bouteilles, l'une de vin, l'autre d'eau, étaient posées à proximité du verre. Au mur, il y avait une fenêtre, S voyait à travers le volet clos filtrer la lumière du jour.

Hans entra et vint directement s'assoir à ses cotés.

- Comment te sens-tu ?

- Bien, Maitre, mais épuisé.

- Pourtant, je compte bien user de ton corps pour mon plaisir cette nuit.

- C'est votre droit, Maitre. Je serai contrarié qu'il en fût autrement.

- Tu es né pour être là, t'en rends-tu compte ?

- Oui, Maitre.

Hans fit un signe et un esclave approcha la table. Il retourna ensuite s'agenouiller face au mur. Hans prit dans la coupe deux grains de raisin qu'il glissa l'un après l'autre dans la bouche de S. Le goût sucré et acide explosa contre les papilles gustatives de S lui arrachant bien malgré lui un gémissement de bonheur. Hans souriait de voir son esclave découvrir tel un enfant les sensations du goût et du toucher. Délicatement, il porta sa main aux bourses de S. Ce dernier sursauta au contact de la main de son maitre mais se retint de tout geste d'évitement ou de protection. Le contact restait désagréable sans être franchement douloureux.

- Demain, le Maitre décidera comment t'imposer la chasteté. Je ne pense pas qu'il te remette la cage.

- Puis-je me permettre de vous poser une question Maitre ?

- Oui, ce soir tu peux.

- Tout ceci n'était qu'un test ?

- Non, tu n'as conservé tes couilles que par la volonté du Maitre. Ni Robin, ni moi n'avons eu le moindre mot à dire. Il te donnera, demain, ses raisons, ou pas. D'ailleurs, Robin et Piotr vont nous rejoindre dans un moment. Je compte sur toi pout bien te comporter.

- Oui, Maitre.

- En attendant, suce-moi.

Hans s'allongea sur la couche et S vint se placer entre ses jambes. Il mit les mains dans son dos et goba le gland de Hans. La position n'était pas spécialement confortable mais qu'importe, il n'était pas là pour être bien mais pour servir. Il s'appliqua à stimuler les zones sensibles de la verge de son Maitre. Hans plaça ses mains sur la tête de S. Il commença à lui imprimer un mouvement de va et vient, l'obligeant à chaque fois à descendre plus loin sur sa bite jusqu'à ce que S ait englouti la totalité de son membre. S s'était abandonné au contrôle de Hans comme il ne l'avait jamais fait, il utilisait tous ses sens pour capter les signaux du plaisir et du bien être de son maitre. Il rendait sa bouche chaude, humide, accueillante. Il voulait le plaisir de son maitre non pas pour son plaisir mais comme récompense et salaire de son labeur.

La porte de la chambre s'ouvrit et Piotr et Robin entrèrent. S ne bougea pas d'un iota. Les deux hommes en voyant le visage quasi extatique de Hans, comprenaient que S réalisait un excellent travail. Par pur sadisme, Robin caressa les couilles de S. Le message douloureux envahit le cerveau de S, il lui fallu toute sa concentration pour ne pas bouger, continuer son ouvrage en canalisant la peur et la douleur. Robin satisfait du résultat mit fin à la torture. Il s'intéressa ensuite à la chatte de l'esclave, il monta sur le lit et présenta sa verge devant l'anus de S et poussa doucement. Presque par réflexe, S facilita l'entrée en poussant sur son sphincter et se laissa envahir par Robin. Robin se cala au fond de la chatte de S et attendit. Le massage de sa bite par les muscles anaux de l'esclave commença presque aussitôt. Le travail était bien fait et Robin se laissa aller au plaisir qu'il ressentait. A sa grande surprise, il ne fut pas long à jouir et ressentit une plénitude rarement atteinte. Il se retira en flattant la croupe de S et en disant : "Bonne chienne".

Piotr n'était resté inactif, en attendant de pouvoir à son tour profiter des services de S, il avait saisi l'esclave à genou contre le mur et lui avait entré en force sa bite su fond de la gorge. Pour Piotr, il s'agissait de patienter, pas de prendre son pied, donc il s'amusa plus à faire souffrir et suffoquer l'esclave qu'autre chose. Il fut passablement étonné d'entendre Robin flatter ainsi S, ce dernier était peu coutumier du fait. Dès que la place fut libre, il encula sans ménagement l'esclave et le pistonna sans douceur. S dut très vite anticiper les coups de rein de Piotr afin de ne pas gêner Hans et de continuer à lui prodiguer la meilleure fellation possible et il y réussit assez bien.

Piotr et Hans se concertèrent du regard et décidèrent ensemble d'honorer S de leur semence. Le moment venu, ils libérèrent leur jouissance dans le corps de corps de l'esclave qui connu pour la première fosi de sa vie un orgasme mental en constatant la satisfaction de ses maitres.

Piotr attrapa un plug qu'il introduisit dans la chatte de S. Puis les trois hommes s'installèrent dans des fauteuils autour d'une table basse. S se leva et malgré la douleur qu'il ressentait à chaque balancement de ses bourses, s'empressa de disposer sur la table assiettes, verres et victuailles. Son travail terminé, il s'agenouilla auprès de son maitre prêt à bondir en cas de besoin.

Les trois hommes devisèrent tranquillement, tout en dégustant du vin des gâteaux et des fruits. De temps en temps, Hans jetait des morceaux à S qui les gobait au vol ou les mangeait à même le sol. Hans alluma un cigare qu'il fuma langoureusement. Quand sa cendre fût près de tomber, il appela le second esclave qui se positionna entre lui et Piotr, à genou, la tête en arrière et la bouche ouverte. Hans fit alors tomber sa cendre dans al bouche de l'esclave qui l'avala. Un peu plus tard, Robin déclara qu'il avait envie de pisser, aussitôt S se tourna vers son Maitre et ayant reçu son assentiment se positionna entre les genoux de Robin, prit son sexe en bouche et attendit que le flot d'urine envahisse sa bouche pour avaler au fur et à mesure. Conscient que la perte de la moindre goutte serait sévèrement sanctionnée, S s'appliqua à bien tout avaler comme Hans le lui avait appris durant les longues heures d'entrainement.

En fin de soirée, Piotr et Robin prirent congé, emmenant avec eux le second esclave, laissant ainsi en tête à tète Hans et S. Ce dernier s'activa pour rapidement ranger la chambre et mettre à l'abri la nourriture non consommée avant de rejoindre sur la couche son Maitre. Hans sodomisa S et après avoir joui, resta en lui et le Maitre et l'esclave s'endormirent l'un contre l'autre.

Au réveil, S remplit auprès de son maitre sa fonction d'urinoir. Ensuite, après avoir réglé la douche à bonne température, il lava Hans, le sécha et fit enfin sa toilette à l'eau froide. Hans vérifia minutieusement que son esclave était impeccable.

S servit ensuite le petit déjeuner et pendant que son Maitre se sustentait, il prépara sa gelée protéinée qu'il mangea rapidement.

En moins d'une heure, ils étaient prêts à se rendre chez le Maitre. Hans guida son esclave à travers des couloirs qu'il n'avait jamais empruntés. Arrivés devant une grande porte double, ils attendirent d'être invités à entrer. Leur attente fut de courte durée. Les portes s'ouvrirent et le Maitre les accueillit. S le voyait dans toute sa splendeur pour la première fois. Il fut de suite subjugué par le charisme de l'homme. Il émanait de lui une présence et une assurance qui forçaient le respect. Le Maitre invita Hans à s'assoir pendant que S s'agenouillait près de ce dernier.

- Nous voyons que S connait sa place et sait se conduire correctement.

- Oui, Monsieur, j'ai veillé à cela lors de sa formation.

- Sais-tu pourquoi nous avons coupé court, sans jeu de mot, à sa castration ?

- Non, monseigneur.

- Parce que tu es nouveau dans notre ordre. Vois-tu sur cent hommes qui comme S lancent une annonce disant qu'ils veulent être asservis, à peine moins de la moitié se présente au premier rendez-vous. Moins d'un quart sont au troisième et pas plus de dix au quatrième. Sur les dix, si nous avons de la chance, nous aurons deux spécimens comme S, les autres termineront castrés, dans des snuffs ou vendus à l'export pour travailler dans des fermes ou des mines où leur durée de vie sera plus que limitée. Quand S est arrivé, en voyant son potentiel, beaucoup ont mis en doute notre décision de te le confier, vu ton inexpérience. Mais nous savions que tu pourrais tirer le meilleur de lui. Nous sommes heureux de voir que tu as mené ta mission à bien. S ne pouvait pas être castré car nous avons décidé de développer un programme d'élevage. S va devoir servir d'étalon occasionnellement, il est hors de question de laisser s'éteindre une telle lignée. Il aura donc une descendance, mais qui, elle, sera esclave de naissance. Nous verrons ainsi si les qualités qu'il possède, sont, ou non, héréditaires. Nous allons aussi tester sur lui un nouveau système de chasteté. Tout à l'heure, tu lui poseras un Prince Albert et un piercing en forme d'anneau derrière les bourses. Les deux seront attachés ensembles par un mousqueton, lui plaquant ainsi la bite sur le bas ventre et lui interdisant ainsi de bander. Quant à toi, ta formation est à présent terminée. Tu as atteint tous les objectifs fixés, tu es même allé au-delà. Nous savons que Piotr est particulièrement fier de toi mais il a toujours eu le béguin pour toi. Tu vas pouvoir retourner à la vie civile. Tu vas emmener S avec toi. Nous te demandons d'être particulièrement vigilant, nous ne craignons pas une rébellion mais plutôt l'excès inverse. S sera amené à évoluer en public, sa servitude ne doit pas transparaître. Vous reviendrez tous deux aux rendez-vous mensuel de l'ordre. Nous allons donc te passer le témoin de la propriété de S.

Le Maitre se leva aussitôt imité pas Hans, S, quant à lui, resta à genou. Il se dirigea vers un vaste divan où il s'assit et ouvrit sa tunique, découvrant sa nudité. Il appela S qui progressa vers lui à genou. Le Maitre lui demanda de le sucer et quand il fut bien raide, il ordonna à S de s'empaler sur son membre. S s'exécuta mais gémit sous l'effort, compte tenu de la grosseur du membre. Une fois que S fût totalement empalé, le Maitre attacha les poignets de l'esclave au collier. Il attira ensuite S à lui et commanda à Hans de le rejoindre. Hans pénétra S sans douceur. L'esclave hurla sous l'assaut. Le maitre lui dit :

- Ta douleur nous excite bâtard.

- Merci, Monseigneur.

- Hans, Défonce-le. Nous voulons lire la douleur sur son visage.

- A vos ordres, Monseigneur.

Hans commença à limer S. L'esclave hurlait à chaque nouveau coup de rein. Le Maitre jouait avec ses seins. S en bavait terriblement. Il espérait et redoutait la fin de l'assaut. Le Maitre demanda à Hans de se préparer à jouir et ensemble ils se libérèrent dans la chatte de l'esclave.

- Voilà, tu es à Hans à présent.

- Oui, Monseigneur.

- Soit à la hauteur de mes espérances et toi Hans porte bien haut les couleurs de l'ordre.

Par Pascal - Publié dans : L'annonce - Communauté : Histoire, video, photo
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