Jeudi 13 juin 4 13 /06 /Juin 04:45

Sommes nous prédestinés ou nos choix ont-ils une importance dans notre destin ? Je pense que tous à notre tour, nous nous sommes posés cette question.

Paul est un jeune homme bien fait. Il mesure 1,65m, mince, les cheveux noirs et les yeux marrons. C'est un garçon calme et discret qui goute peu les jeux turbulents des jeunes de son âge. Il apprécie encore moins les conversations portant sur le sexe et les filles. En effet, Paul a toujours su qu'il aimait les hommes. Depuis son plus jeune âge, dans ces rêves il était avec des hommes. D'ailleurs depuis l'âge de 12 ans, il recherchait en permanence leur compagnie. Ses frères plus âgés le trouvaient un peu collant, mais son père et ses amis aimaient bien ce gamin poli qui obéissait si bien. Car oui, Paul aimait obéir. Il n'appréciait rien autant que de voir son père content de lui et le féliciter d'avoir mené à bien la mission confiée.

A l'âge de la puberté, cette simple fierté devint insuffisante. Chaque jour à l'école, tout en essayant de rester discret, il ne pouvait s'empêcher de détailler l'anatomie de ses camarades de classe. Il pensait que personne n'avait rien remarqué. Pourtant un jour, Tony, un garçon d'origine italienne, plus grand que les autres (il avait redoublé deux fois déjà), l'attira dans un coin tranquille et lui dit tout de go :

- T'es un PD toi ?

- Pour.. Pourquoi tu dis ça ?

- Ca fait un moment que je te vois mater nos bites en classe. Et pendant les cours de gym, tu deviens carrément pathétique à essayer de nous reluquer donc j'en déduis que tu es PD.

La justesse de la démonstration démonta l'assurance de Paul et il convint en effet qu'il rêvait de voir un homme nu. Tony lui proposa alors de le retrouver pendant la pause méridienne dans les toilettes. Paul s'empressa d'accepter.

La fin de matinée parut bien longue à Paul. Il eut bien du mal à se concentrer sur la poésie de Ronsard au XVI ème siècle. Quand la cloche sonna, il fut exceptionnellement le premier à la porte de le salle de classe et dévala les deux étages menant à la cour à toute vitesse avant de s'engouffrer dans les toilettes.

Tony n'était pas arrivé, Paul se dirigea donc vers les urinoirs où il fit semblant de se soulager. L'attente est de courte durée. Tony entra dans les toilettes et se dirigea vers un WC en faisant signe à Paul de le rejoindre.

L'endroit était étroit et Tony fit assoir Paul sur la cuvette puis il ouvrit sa braguette et sortit une bite à demi bandée et dit : "Suce-moi". Paul s'approcha mais eut très vite un mouvement de recul. En effet, la bite de Tony était loin d'être nette et avait une odeur peu engageante. L'autre, d'autorité, lui attrapa la tête et l'obligea à engouffrer son membre.

- Fais pas la fine bouche salope; tu en suceras des plus crades que celle-là, crois moi !

Paul essaya de protester mais son tortionnaire lui limait littéralement la gueule. D'ailleurs Tony était tellement excité qu'il ne dura pas longtemps et lâcha :

- T'as intérêt à tout avaler parce que sinon ça finit sur ton blouson. Compris salope ?

Paul fit oui de la tête. Et l'autre lâcha son foutre. Il n'avait pas du jouir depuis un moment, car Paul manqua de s'étouffer avec tout ce foutre et n'arriva qu'à grand peine à tout avaler.

Tony rentra sa bite dans son pantalon après se l'être bien fait nettoyer et lui dit :

- C'est bon bâtard, rendez-vous mercredi après-midi à cette adresse, tu vas sucer des bites et me rapporter di fric salope.

Tony quitta les WC, laissant Paul essoufflé et inquiet : qu'allait-il se passer mercredi ?

Paul était seul dans les WC. Il reprenait lentement son souffle. Il se releva et sortit à son tour. Il se planta devant une glace pour vérifier que tout était en ordre dans sa tenue, qu'il ne restait aucune trace suspecte de sa précédente activité. Rien se semblait clocher si ce n'est le regard que lui renvoyait le miroir : un regard de suceur de bites. Le passage à l'acte n'était pas sans conséquence.

Tout au long de la journée, il eut l'impression qu'il était marqué et que les autres savaient ce qu'il avait fait. Il rentra chez lui en baissant la tête, assez préoccupé par l'accueil que lui feraient ses parents et comment il allait s'expliquer. Bien entendu rien ne se passa comme prévu, la soirée fut des plus habituelles et Paul regagne rapidement sa chambre après le repas.

Enfin seul, il repensa aux évènements de la journée et il commença à se masturber en pensant à la manière dont Tony s'était servi de lui et comment il était devenu son vide-couilles. Cette simple pensée suffit à le faire jouir comme un fou.

Par Pascal - Publié dans : La spirale
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