Jeudi 30 mai 4 30 /05 /Mai 20:52

Trop envie de me faire baiser ce soir. Je suis allé au parking du Bordelot. Pratique ce parking, entre deux accès à l'autoroute. En plus, il y a toujours du monde. Et souvent il y a des routiers, des mâles qui ont besoin de se vider les couilles. Avant toute chose, laissez-moi me présenter.

Je m'appelle Marc. J'ai 23 ans. Je mesure 1.70 m pour 70 kg, plutôt bien foutu, une petite gueule d'ange ou de démon comme vous voulez. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par les hommes. Je vous raconterai plus tard mes premières aventures sexuelles. Je suis ce que l'on peut appeler vulgairement une salope. Mon trip, c'est d'en prendre plein la gueule et plein le cul. Et pour ça j'aime bien les lieux glauques et sombres.

Ce soir, sur le parking, il fait doux. Je porte juste un short et un tee-shirt. J'ai garé ma voiture dans un coin tranquille et je pars en chasse. Je commence à me balader dans le secteur des camions, c'est toujours ma première visite. Je fais mouche à chaque fois et cette fois ne fait pas exception. Je passe entre deux bahuts. Je remonte de l'arrière vers l'avant. Arrivé à hauteur de la cabine, la porte du coté passager du camion s'ouvre et une voix grave m'ordonne de monter. Je ne cherche pas à comprendre, je grimpe. Je ferme la porte derrière moi. Devant moi, un mec balèze avec un peu de ventre, il porte un tee-shirt et un slip manifestement bien rempli. Il me demande si je suce. Bien sur que je suce et j'avale aussi.

Aussitôt, il me fait signe de me mettre au travail en sortant sa bite à moitié bandée. J'engouffre son membre et commence à le pomper. Il se laisse faire avec plaisir en poussant des grognements. J'agace son gland avec ma langue. Sa bite n'est pas très longue mais elle est assez large. Il me dit qu'il aimerait bien me mettre mais il n'a pas de capote. Ca je m'en fous je lui réponds s'il veut me défoncer je suis ok. Il me fait mettre à plat ventre sur la couchette, positionne son gland sur mon trou et s'enfonce d'un coup sec. Putain le salaud, il m'a ouvert grave. Je serre les dents mais je gémis sous le coup. Il commence à me pistonner, la vache, il me traite comme un trou exactement ce que j'aime. Les insultes commencent à fuser. Bâtard, tapette, enculé, vide couilles. Putain le pied. Il bourrine comme un malade, il me prévient qu'il va m'engrosser. Je le sens se caler au fond de mon cul et je sens les pulsations de sa bite et les jets de foutre qu'il lâche en grognant.

Il se retire et me demande de nettoyer sa bite. Je me remets à genou devant lui et recommence à le sucer. Il attrape sa CB et lance sur les ondes :

- Salut les mecs, juste une info pour vous signaler que sur le parking du Bordelot, il y a un OM salope que se fait défoncer et qui pompe super bien. Grâce à lui je vais passer une bonne nuit.

La réponse ne se fait pas attendre :

- Elle est à péage ta salope ?

- Non, elle est gratos mais comme faut la nourrir elle avale.

- Cool, dis lui de se positionner au fond du parking à l'aire de pique-nique, elle va avoir à manger.

Le mec me regarde et me dit :

- T'as entendu ?

- Oui Monsieur, merci.

- Tu sais où c'est ?

- Oui, j'y vais de suite.

- Laisse-moi ton tel que je puisse te faire signe quand je repasse.

- C'est le 06 ….

- Parfait casses-toi, ils vont t'attendre sinon.

Je sors du camion et me dirige vers l'aire de pique-nique. J'ai l'impression que celui qui va se faire niquer c'est moi. Putain, je suis excité comme une pucelle devant son premier chibre. Je coupe à travers le bosquet pour gagner quelques mètres quand j'entends une vois m'interpeler :

- C'est toi la salope affamée ?

Je me retourne et voit une espèce de mastodonte dans l'ombre.

- Oui, monsieur …

- Cool, viens ici, j'ai les couilles pleines …

Je m'approche de lui. La vache, c'est un géant. Il pose sa main sur mon épaule. Je n'ai pas le choix, je me mets à genou.

- Sors le matos salope !

Je m'exécute. Ouf ! Bonjour le morceau ! J'ai du mal à ouvrir assez la bouche pour le pomper. Putain que c'est bon. Il me traite comme une pute. Il me tient la tête et me ramone la gueule. J'en bave tellement c'est bon.

- Tu te fais tirer aussi ?

Je réponds par un gémissement et un hochement de tête. Je le vois alors faire signe à un autre mec.

- Lèves ton cul.

Un mec derrière moi arrache littéralement mon short et me perfore la chatte. Heureusement que je viens de me faire troncher et que je suis encore lubrifié par le foutre du routier parce que, putain je dérouille. Je ne peux m'empêcher de gueuler.

- Ferme la salope

Il me ramone comme un malade. Je prends mon pied comme jamais avant. Je suis enfin un trou. Je suis embroché par les deux bouts. Mon enculeur est pressé mais celui que je suce prend son temps. Je sens le mecs me remplir le cul, il décule et est aussitôt remplacé par un autre. Le géant que je suce, a manifestement pris les choses en main. Il a l’intention de filer ma chatte pendant que je le suce.  Putain c’est tellement bon que je commence à me branler. Erreur, mon nouveau mac me colle une baffe :

- Ne touche pas à ta bite !

Pour bien me faire comprendre qui commande, il enfonce son dard au fond de ma gorge et le maintient jusqu’à ce que j’étouffe. J’ai compris, j’obéis et en plus, bordel, j’aime ça.

Au total, c’est quatre mâles qui m’ont inséminé. Mon mac se retire de ma gueule et me demande de le suivre. Il se dirige vers un bahut. Il ouvre la porte et me fait monter à sa suite. Il termine de me dessaper et m’allonge sur la couchette, il me menotte et accroche les menottes au plafond de la cabine. Ensuite, il me fait mettre les jambes en l’air et accroche aussi mes chevilles au plafond : je suis à sa merci.

A la faible lueur de la cabine, je le vois. C’est un gorille, tant par la masse que par la pilosité, une bête. Il commence à me branler. Je suis tellement excité que je décharge en moins de 30 secondes.

- Bon ! A moi de jouir maintenant.

En disant cela, il approche son chibre de mon anus. Non, pas ça ! Je ne supporte pas de me faire mettre quand j’ai joui. Je commence à gueuler, mais il a prévu le coup et je me retrouve avec un vieux slip puant dans la gueule. Et la perforation commence. Putain, je dérouille ! Il prend son temps. J’ai l’impression d’être ouvert en deux. Je chiale de douleur et de rage.

Et soudain, un flash, je me mets à gémir comme une femelle. Putain je jouis du cul. Il enlève le slip de ma bouche. Je suis sa femelle et il me baise. Et je le sens jouir en moi.

Le mec me détache et me dit :

- Putain, ça, c'est un bon plan. T'as l'air d'avoir pris ton pied !

- Oh que oui ! pourtant j'ai horreur de me faire défoncer quand j'ai joui.

- Je te garderai volontiers avec moi pendant ma semaine.

- Ca me plairait bien ça …

- Tu pourrais ?

- Cette semaine oui, j'ai pas de boulot en ce moment.

- On part demain matin, après ma pause et je te redépose samedi fin de journée. Entre les deux, t'es ma salope et ma pute.

- Cool ! Mais, il faut que je ramène ma bagnole chez moi.

- Tu habites où ?

- Pas loin de l'autoroute, mais trop loin  pour le faire à pied.

- Je peux garer le bahut pas loin de chez toi ?

- Oui juste à coté.

- Parfait, je te suis avec le bahut, on passe la nuit chez toi et on décarre demain matin.

- Super. Je pars devant.

Je quitte le bahut. Je n'ai pas remis mon short, de toute façon il est en lambeaux. Je me dépêche de rejoindre ma caisse et je me dirige vers la sortie du parking. Le camion y est déjà en "warning". Je passe devant, il m'emboite le pas. Je surveille en permanence dans mon rétro qu'il est derrière moi. Putain, je suis grave excité. C'est un gros fantasme qui se réalise. Ca y est, le péage est la. Il me suit toujours, plus que cinq kilomètres et nous serons chez moi.

Je gare la bagnole. Je vois le bahut qui s'est arrêté un peu plus loin. Le coin est tranquille. Le mec descend, il porte juste un tee-shirt et un short. Je me dirige vers mon appartement, il me suit.

A peine arrivée à l'intérieur, il me plaque contre le mur et me roule une énorme pelle. Je le serre dans mes bras. J'ai encore envie de lui.

- On peut prendre une douche ?, demande-t-il.

- Oui, suis-moi.

Nous arrivons dans la salle de bain. Il vire ses fringues. C'est la première fois que je le vois à poil en pleine lumière. Je crois que je suis amoureux. Je n'avais jamais osé espérer avoir un mec comme ça chez moi. Il monte dans la douche, il me regarde et me demande ce que j'attends pour le rejoindre. Je ne me fais pas prier. Il commence à faire couler l'eau, nous mouille tous les deux abondamment et me masse avec le gel douche. J'adore ça, jamais je ne suis laissé faire comme ça par un homme. Il me tend le gel douche et me demande de lui rendre la pareille. Evidemment, je m'exécute. Je peux enfin caresser ce corps superbe, en découvrir les moindres courbes et replis. Il nous rince puis coupe l'eau. Nous sortons, il attrape ma serviette et me frictionne, avant de se sécher à son tour.

- Viens, on va dormir un peu, demain nous avons de la route.

Je me dirige vers la chambre. Il s'arrête à coté de son sac et en sors un objet que je ne vois pas. Il s'assied sur le lit et me fait venir vers lui.

- Je ne veux pas que tu te branles, alors je vais t'installer cette cage.

- Non, je ne suis pas d'accord.

- Chut, je sais ce qui est bon pour toi et tu sais que tu dois m'obéir.

C'est dingue, je le laisse faire. Ok, je suis une salope mais jamais aucun mec, n'a eu une telle emprise sur moi. Pour la première fois de ma vie, je me retrouve avec la bite en cage, drôle de sensation.

- Bien maintenant dodo ! Règle ton réveil pour 6 heures demain matin.

- Ok ! Au fait, c'est quoi ton prénom ? Moi c'est Marc.

- Moi c'est Franck. Bonne nuit gamin !

Il est là, à coté de moi, et il vient de s'endormir comme une masse. Et moi, je suis en manque. Bordel, j'ai le mec de mes rêves qui dort à coté de moi et je n'ose pas le toucher. Je commence à fantasmer sur cette semaine en camion. Et pendant que Morphée m'attire à lui, j'imagine déjà que je vais prendre cher ….

Par Pascal - Publié dans : Une semaine en camion - Communauté : Histoire, video, photo
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