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Histoires Gay de Pascal
Les histoires publiées sur ce blog sont purement fictives, toute ressemblance avec des personnages ou des lieux existants ou ayant existés serait purement fortuite.
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Je rappelle que même si je n'en parle pas dans mes histoires, le SIDA tue toujours et que le seul moyen connu à ce jour pour l'éviter est le port du préservatif. Vivez dans la réalité pas dans la fiction, protégez vous !
Tony se réveilla dans sa chambre d'hôpital. Il mit un moment à se rappeler où il était. Cette chambre ne ressemblait en rien à la sienne. La veille, une aide-soignante lui avait amené son repas et il s'était rendu compte qu'il mourait de faim. Ensuite, Paul l'avait appelé et ils étaient restés un long moment au téléphone. Un grand poids avait quitté sa poitrine quand il avait discuté avec sa mère et qu'il s'était rendu compte qu'elle ne le repoussait pas. Une nouvelle vie pouvait commencer et il se sentait fort.
Un léger coup frappé à la porte le tira de sa réflexion. Il n'eut pas le temps de dire "Entrez" que la porte s'ouvrait et qu'un jeune homme d'une trentaine d'années pénétrait dans sa chambre.
- Bonjour, comment allez-vous ce matin ?
- Bien merci.
- Je vais prendre votre température et votre tension.
Au mot température, Tony eu un reflexe de recul. Le jeune infirmier sourit et lui dit :
- Je parle de la température auriculaire, pas anale, ne vous inquiétez pas. Ce matin le médecin viendra vous soir et en fonction de votre état vous pourrez peut être partir dès cet après-midi.
- Hier, il avait dit 48 heures …
- Aujourd'hui est un autre jour. Et puis, à quoi bon vous garder ici si vous allez bien ? Il y a mieux comme lieu pour des vacances non ?
- Oui effectivement, convint Tony.
Tout en discutant, l'infirmier avait pris la tension et la température de Tony : normales. Il lui demanda alors s'il avait des vertiges ou mal quelque part. Tony répondit que non, tout allait bien.
- Bien, on va vous apporter votre petit déjeuner, je repasserai plus tard pour votre toilette.
Sur ces mots, l'infirmier quitta la chambre. Il y fut remplacé quelques minutes plus tard par une aide soignante qui apportait un plateau. Sur lequel se trouvait un café accompagné de pain, beurre et confiture. Le tout était complété par un fruit. Tony en conclut que prendre un bon petit-déjeuner était bien agréable et qu'il devrait y songer le matin avant d'aller en cours. Le plateau fut retiré de la chambre et l'infirmier revint.
- Je ne fais pas les toilettes d'habitude, mais il se trouve que nous n'avons pas d'aide-soignant masculin ce matin donc c'est moi qui vais t'aider. Lève-toi doucement sans geste brusque pour éviter les étourdissements.
Tony se leva, un peu gêné, il ne portait que la chemise de nuit de l'hôpital. Le jeune homme lui sourit et lui dit :
- Ne sois pas mal à l'aise, tu n'es ni le premier ni le dernier homme que je vois nu, je suis juste là pour m'assurer que tout se passe bien et que tu tiens bien en équilibre.
- Le souci, c'est que vous me faites de l'effet.
- Effectivement, tu sembles particulièrement en forme de ce coté là, mais pour l'instant ce n'est pas à propos, alors je te conseille la douche froide, c'est souverain.
La remarque fit sourire Tony. Il se dirigea vers la salle de bain et prit sa douche tranquillement. L'infirmier, quant à lui, se rinça copieusement l'œil jusqu'à ce que, n'y tenant plus, il s'approchât de Tony en train de se sécher et entreprît de le frictionner avec la serviette. Tony se laissa faire, il découvrait avec cet homme le plaisir de se laisser aller. L'infirmier caressait, d'une main les fesses de Tony et de l'autre, le branlait doucement. Leurs bouches se joignirent en un baiser fougueux et passionné tandis que les mains de Tony partaient explorer la tunique de l'infirmier. Rapidement les deux sexes dressés se firent face et doucement mais fermement, l'infirmier pesa sur les épaules de Tony qui céda et s'agenouilla face à la virilité de son partenaire.
Pour la première fois de sa vie, Tony fit pénétrer dans sa bouche le sexe d'un homme et il ne se sentait ni rabaissé ni forcé. La douceur des gestes de l'infirmier l'avait naturellement amené à lui dispenser cette caresse buccale. Lentement, il fit coulisser la tige de chair chaude et vibrante dans sa bouche, s'appliquant à la prendre la plus profondément possible. Il sentait les mains de l'infirmier posées sur sa tête et qui lui imprimaient un rythme lent de va et vient. A plusieurs reprises, l'infirmier força doucement la gorge du jeune homme en poussant des soupirs d'aise. Le plaisir de son partenaire motiva Tony à donner le meilleur de lui-même et en peu de temps, il reçut sur le visage éclaboussant hommage du plaisir viril qu'il avait suscité.
Tony se relava et s'abandonna aux douces mains de l'infirmier qui eurent tôt fait de lui faire prendre son plaisir. Il venait de découvrir dans les bras de cet homme le plaisir du partage et il se promettait de remettre ça avec Paul.
Après une rapide toilette, Tony regagna son lit juste à temps pour voir arriver Le médecin. Ce dernier l'examina et après lui avoir fait faire quelques exercices le déclara à nouveau apte au service et lui dit qu'il pouvait rentrer chez lui en début d'après-midi.
Twitter : @Depravpervers
Facebook : pascal.deprav
Je vais tout de suite lire la suite.
Q.
Si je le connaissais je l'aurais déjà consommé
Q.
juste assez pour gouter
Q.