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Histoires Gay de Pascal
Les histoires publiées sur ce blog sont purement fictives, toute ressemblance avec des personnages ou des lieux existants ou ayant existés serait purement fortuite.
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Je rappelle que même si je n'en parle pas dans mes histoires, le SIDA tue toujours et que le seul moyen connu à ce jour pour l'éviter est le port du préservatif. Vivez dans la réalité pas dans la fiction, protégez vous !
Paul avait encore le goût acre du sperme dans la bouche quand une seconde bite se présenta pour être sucée. Le propriétaire ne lui laissa d'ailleurs pas le temps de réfléchir et l'obligea à gober son membre. Paul put se rendre compte à cette occasion que les bites étaient toutes différentes tant par la taille et la forme que par le goût. Ce nouvel arrivant lui baisait la gueule mais avec moins d'ampleur et de violence que le précédent, il semblait plus sûr de sa puissance et prenait le temps de profiter de la bouche chaude et accueillante.
Les commentaires sur les capacités de Paul commençaient à fuser, le premier utilisateur assurant qu'on ne lui avait jamais sucé la bite comme ça et le suivant répliquant que seules les bonnes salopes mâles savaient pomper correctement un mec.
Périodiquement, Tony lui faisait renifler du poppers. Il pompait alors avec d'autant plus d'ardeur et acceptait d'autant mieux les gorges profondes que lui imposaient certains de ses partenaires, l'obligeant parfois à retenir sa respiration durant un long moment.
Tony lui ménageait aussi des pauses et lui faisait boire de l'eau. En bon manager, il avait compris que prendre soin de la salope permettait de satisfaire plus de clients.
Paul avait perdu depuis longtemps le compte des bites qu'il avait sucé mais il sentit qu'il y avait moins de monde autour de lui. Un dernier homme se vida dans sa bouche et Tony lui dit que le grand moment était venu. Il sentit un liquide froid couler le long de son anus et des doigts forcer sa rosette pour lui lubrifier sa chatte de mec. Paul avait souvent joué avec sa rosette mais il restait vierge de toute bite. Tony lui parla doucement à l'oreille et lui dit qu'un homme allait prendre son pucelage et faire de lui définitivement une pute.
Paul frémit à la fois de désir et de peur. Il entendit une voix grave lui ordonner de bien cambrer son cul, ce qu'il s'empressa de faire. Tony lui donnait des explications sur ce qui se passait. Immobile, parfaitement à l'aise dans son rôle de soumis, Paul attendait à la fois résigné et impatient de se faire prendre.
Il sentit enfin le gland du mâle se positionner sur sa rosette et forcer doucement mais fermement l'entrée. Tony lui souffla de pousser pour faciliter la pénétration. Et enfin ses muscles cédèrent face à l'invasion du membre conquérant. Paul poussa un cri à la fois de surprise et de douleur comme une vierge qui se fait prendre. Le mâle qui le prenait commença à le limer doucement dans un premier temps. Il semblait satisfait de ce cul qu'il déflorait et du comportement de la pute qu'il tringlait. A plusieurs reprises, il claqua les fesses de Paul. Le rythme allait en s'accélérant et l'ampleur des va et vient allait en augmentant. Paul gémissait. Tony maintenait le flacon de poppers sous le nez de Paul et lui répétait de bien se donner, d'être une bonne salope.
Le mâle commençait à insulter sa pute, il traitait Paul de tous les noms, lui expliquait qu'il allait le remplir, l'engrosser. C'était à présent des coups de boutoir que l'adolescent encaissait en gémissant. Son excitation était à son comble quand l'homme lâcha son plaisir dans son ventre et le repoussa violement, le laissant essoufflé et pantelant avec cette sensation de vide après cette première chevauchée.
"C'est une bonne pute, j'y reviendrai", déclara l'homme en quittant la pièce. Tony le raccompagna, un bon commercial ce Tony, il sait prendre soin des bons clients, ceux qui n'hésitent pas à payer de grosses sommes.
Paul, seul, tremblait sur son matelas. Il sentit la caresse de la main de Tony sur sa nuque, la même caresse que l'on donne au chien qui a bien exécuté un ordre. Paul n'en avait cure et appréciait cette marque d'affection même déplacée. Paul lui délia les mains et l'aida à retirer sa cagoule. Il l'allongea ensuite sur le matelas et le prit dans ses bras.
"Tu as bien assuré, ma petite salope, tu t'es trouvé un bon client. Viens ici faire un câlin à ton mâle", murmura Tony à l'adresse du jeune homme. Paul se blottit contre lui et demanda :
- Combien j'en ai sucé ?
- Neuf, c'est pas mal pour une première fois.
- Merci.
- On recommence quand tu veux. En plus maintenant tu pourras aussi te faire tirer.
- Oui, c'est trop bon.
- Parfait. En attendant, je veux profiter de ta chatte de suite.
- Hummm, oui.
Allongé sur le matelas, Paul ramena ses genoux vers ses épaules et découvrit ainsi l'accès à sa rosette. Tony impatient comme le sont tous les jeunes étalons, prit à peine le temps de se passer un peu de gel sur le membre avant d'empaler son partenaire. Paul gémit à la fois de douleur et de plaisir. Il regardait son mâle se démener au dessus de lui et prendre un réel plaisir à lui bourrer la chatte. Il sentait que Tony ne pensait qu'à son plaisir et au fond arrivait à trouver ça normal. La défonce commençait à lui faire de l'effet à lui aussi et les coups répétés sur sa prostate le rendait accroc à l'acte. Paul commença à encourager son baiseur, l'incita à se lâcher, à le baiser comme une chienne et à la remplir. Tony était tellement excité que la saillie ne dura pas longtemps et rapidement il se répandit dans son partenaire. Comblé, il le prit dans ses bras et déposa un baiser sur ses lèvres.
Les deux garçons restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre mais l'heure passant ils durent se séparer pour permettre à Paul de regagner son domicile.
Durant les dix minutes de trajet, Paul repensa sans arrêt à cet après-midi et au rendez-vous que Tony lui avait fixé pour le lendemain matin au lycée.
- Tu as passé un bon après-midi, mon chéri, lui demanda sa mère.
- Excellent oui, répondit Paul.
- Paul, tu peux venir voir s'il te plait, demanda son frère.
Paul rejoignit son frère dans sa chambre et le trouva en caleçon. Il ne put s'empêcher de mater la bosse entre les cuisses musclée de son frère.
- Paul, tu suces divinement, j'espère pouvoir profiter de tes services plus souvent.
Le jeune homme passa par toutes les nuances de rouge. Son frère vint à ses cotés et lui dit :
- Ne t'inquiètes pas, je ne vais pas te trahir, si tu fais ce que je demande ...
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