Lundi 3 juin 1 03 /06 /Juin 19:44

Après la soirée que nous avons passée, Franck, Hervé et moi, j'avoue aimer me prélasser dans la couchette dans les bras de Franck. Hier pour la première fois, j'ai subi une double sodomie. Très anxieux avant, j'ai vraiment apprécié l'exercice et cela a encore renforcé ma confiance en Franck. La suite de la soirée avec mes deux males à surtout consisté en caresses et fellations, suite durant laquelle ils se sont ingéniés à me faire jouir par tous les pores de la peau.

Je vois le soleil filtrer au travers des rideaux de la cabine. Je sens Franck me serrer contre lui et me murmurer à l'oreille :

- Tu dors, gamin ?

- Non, Franck, je suis réveillé.

- Comment te sens-tu ?

- Super bien avec toi. Hier, ça a vraiment été génial.

- Je savais que tu étais une bonne salope.

- Pourquoi tu dis que je suis une salope ?

- Parce que c'est vrai. Et je veux mettre les choses au clair : une salope, une vraie comme toi, c'est rare et précieux. Tu aimes la bite, tu aimes t'offrir, donner du plaisir et tu y prends du plaisir. Je ne considère pas une salope comme étant inférieure au mâle mais comme étant complémentaire. En plus, tu es moins chiant que les nanas qui ont toujours un truc de travers.

- Merci de me dire ça.

- Je le pense. Même si je pense aussi que pour qu'une salope soit comblée, il lui faut un male attitré qui saura lui faire donner le meilleur d'elle-même, quitte à la brusquer parfois comme je l'ai fait hier soir avec toi. Tu es un beau mec et j'aimerai être ton mâle. Ne me réponds pas de suite, je te reposerai la question mais prends le temps d'y penser.

-Ca pour être pensif, sur ce coup-là je suis très pensif. J'ai à la fois envie de lui dire oui de suite et de m'enfuir parce que ce que Franck me propose, m'effraye.

- Allez gamin direction la douche, ensuite on ira manger un morceau, il est déjà 11:00.

- Oui.

Nous nous levons et enfilons chacun un jogging et un tee-shirt. Nous nous dirigeons vers la station-service où nous récupérons les clés de la douche. Une fois à poil, Franck me demande si je suis capable de me passer de la cage de chasteté :

- Es-tu capable de ne pas et toucher si je te l'enlève ?

- Honnêtement, Franck ? Non. Je vais me branler de suite.

- Ta franchise t'honore, mais cela veux dire que tu vas devoir la conserver.

- Je sais oui et même si par moment c'est dur, je comprends pourquoi je dois la garder.

- Explique-moi.

- Je dois me concentrer sur ma chatte et sur ma bouche quand je suce. Je dois donner du plaisir pour en recevoir du mâle.

- Tu sais que certains vont te baiser comme un vulgaire trou ?

- Oui, ce n'est pas grave quand ils jouissent, je me sens bien et particulièrement heureux et surtout j'ai le sentiment de les contrôler car finalement c'est moi qui les excite ou non. Et puis, j'aime trop me faire prendre.

- C'est vrai, tu as bien compris. Et regarde dans quel état tu m'as mis.

En disant cela, mon mâle désigne son sexe qui s'est fièrement dressé face à moi. Je connais mon rôle et m'agenouille pour rendre un véritable hommage buccal à ce membre imposant et viril. Franck me laisse faire un moment puis il me fait relever et se place derrière moi. Il positionne son membre à l'entrée de ma chatte. Il me bâillonne avec sa main gauche et positionne la gauche sur mon pubis. Je sais ce qui va arriver, je me détends au maximum mais quoiqu'il en soit je suis quand même surpris par le départ du coup. Sa bite m'a littéralement empalé. Heureusement que j'étais bâillonné sinon mon cri aurait alerté toute la station. C'est plus un cri de surprise que de douleur, en effet les ramonages successifs couplés au port quasi permanent du plug ont bien assoupli mon anus et me permette d'encaisser ce genre de pénétration sans trop de problème. Franck commence à me limer. Instinctivement, je tends mon cul pour qu'il puisse me prendre a fond. J'adore le sentir au fond de moi, aller et venir. Je sais qu'il va m'engrosser. Il me pince les tétons et je gémis. Enfin je le sens se contracter et m'inonder de sa semence. Il se retire, me retourne, me plaque contre le mur et me roule une pelle d'enfer.

Nous prenons une douche ensemble et nous quittons la pièce. Franck m'envoie poser nos affaires de toilette au camion et me demande de la rejoindre à la cafétéria pour manger un morceau. A mon retour, je le vois attablé en train de discuter avec un homme balaise de grande taille. Je m'assieds à coté de Franck qui me présente à l'inconnu :

- Yvan, je te présente Marc. Marc voici Yvan.

- Enchanté Yvan.

- Ravi de te connaitre mon gars, je pense que tu vas faire un tabac. Bon je vous laisse les gars à tout à l'heure.

- Qu'a-t-il voulu dire Franck ? je demande alors que le gars s'éloigne.

- Il va t'organiser un petit gang-bang ce soir.

- J'ai jamais fait ça moi !

- Il y a un début à tout gamin. Je serai avec toi. Si tu en as besoin, j'ai ce qu'il faut pour t'aider à lâcher prise.

- Comment ça ?

- Tu verras bien. Viens manger un morceau ensuite on ira ranger le camion, ça commence à être la foire dans la cabine.

Franck hèle un serveur et nous fait apporter deux plats du jour accompagnés d'une bière pour lui et d'un coca pour moi. Nous mangeons d'un bon appétit tout en discutant. Franck est très curieux au sujet de ma vie. Il veut savoir si j'ai déjà vécu avec quelqu'un, si j'ai des amants réguliers. Je lui explique que non. Mais bon, le plus simple est que je raconte tout depuis le début non ?

Alors voilà. J'ai 10 ans. Ma mère vit avec un mec un peu plus jeune qu'elle et plutôt bien foutu. Le soir, je les entends souvent quand ils baisent. Il faut dire que ma mère n'est pas discrète et le seul moment où elle se tait c'est quand elle suce. Ma mère travaille dans une usine de confection où elle fait les deux-huit. En clair, soit elle commence à 6 heures du matin soit elle termine à 22 heures. Donc c'est mon "beau-père" qui s'occupe de moi.

Et mon père dans tout ça, me direz-vous ? Et bien, je n'ai aucune idée de qui il est ! Ma mère a toujours aimé se faire tirer, les chiens ne font pas des chats, et un des ses nombreux amants lui a laissé un souvenir : moi.

Les cris de plaisirs poussés par ma mère lors des assauts de son amant m'ont toujours fasciné. Souvent, je me glissais dans le couloir pour les espionner pendant leurs ébats. Je n'ai su que plus tard que je n'étais absolument pas discret. En effet, quand j'ai eu 12 ans mon beau-père a décidé d'avoir une discussion avec moi pour m'expliquer les choses de la vie. Et au cours de cette discussion, il m'a dit qu'il savait que je les espionnais. La seule chose qu'il voulait savoir c'est si je m'imaginais à sa place où à celle de ma mère.

J'avais confiance en lui, je lui ai donc répondu franchement : à la place de ma mère. Il m'a regardé et m'a dit que pour mon anniversaire, il allait me baiser et il m'a demandé de me foutre à poil. Je ne voulais pas vraiment obéir mais je n'ai pas eu le choix. Il a donc abusé de moi. Désolé de ne pas entrer dans les détails de cette baise, mais des années après elle n'est toujours pas excitante.

Ce qui m'a conduit à lui pardonner, c'est qu'à la fin de cette séance, il s'est excusé et m'a fait un super câlin. Il a été, à partir de ce jour, un beau-père exemplaire et s'est toujours très bien occupé de moi. Je lui dois d'avoir travaillé correctement à l'école même si je n'ai pas fait d'étincelles. Il a continué à baiser ma mère et je savais qu'il allait le faire car nous avions un code, comme ça je pouvais aller les espionner.

C'est moi qui un soir, après l'école, suis retourné vers lui. Je lui ai dit que j'avais à nouveau envie d'un câlin. Il m'a fait l'amour comme une bête et j'ai pris un pied d'enfer. C'est lui qui m'a presque tout appris en matière de sexe. Malheureusement, il est mort dans un accident de la route alors que j'avais 18 ans. J'ai cru que j'étais anéanti, mais c'est surtout ma mère qui ne l'a pas supporté et elle s'est suicidée quelques mois plus tard.

Depuis, je pense souvent à lui, j'aime le sexe et je me fais baiser mais pour l'instant personne n'est venu remplir le vide que sa mort  a laissé dans ma vie.

Je termine mon histoire et j'ai en face de moi un Franck médusé.

- Et bien, tu commences fort gamin.

- Ce n'est pas une histoire si triste que ça quand même.

- Ben, disons que ce n'est pas du Benny Hill même si ce n'est pas Oliver Twist.

- Oliver qui ?

- Toute une éducation à refaire ! Ah, les jeunes …

- Ca va, le vieux.

Franck me donne une tape sur la main et je fais mine de bouder. Puis nous éclatons de rire tous les deux. Nous terminons notre café et direction le camion.

Ce n'est pas facile à ranger une cabine, c'est exigu. Sans arrêt nous nous frôlons,  et sans arrêt Franck me repousse en disant : "tout à l'heure". A la fin, excédé, il finit par me traiter de chienne en chaleurs. Je lui fais alors remarquer que depuis notre départ, je suis toujours en cage et n'ai toujours pas joui. Il acquiesce et me promet de s'occuper de moi avant le lendemain.

Nous arrivons enfin au bout de notre tâche. Ce soir nous dormirons dans une couchette propre. J'ai presque hâte d'y être. Mais, Franck donne le signal de la toilette du soir, il m'explique qu'elle doit être bien faite et qu'ensuite nous partons vers un lieu d'extrême débauche.

Par Pascal - Publié dans : Une semaine en camion
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