Lundi 3 juin 1 03 /06 /Juin 17:31

Nous venons de quitter l'entrepôt. Je reste silencieux et pensif. Je fais face à la route mais du coin de l'œil, je surveille Franck. Qui est-il ?

- Tu es bien silencieux gamin.

- Disons que je suis un peu perdu.

- Pourquoi çà ?

- Alain est ton frère ?

- Oui mon grand frère !

- Et tu es son patron ?

- Non, nous possédons la société à deux. Lui, c'est un gestionnaire, un mec sérieux. Moi, je suis un routier comme notre père. Il fait ce qu'il aime et moi aussi.

- T'es riche alors ?

- Ca dépend ce que tu appelles riche. Si par là tu veux dire que je ne me pose pas trop de questions sur mon compte en banque oui. Mais je ne peux pas faire n'importe quoi non plus.

- Ah ok.

- Qu'importe, on ne va pas discuter placements toute la soirée. Nous avons rendez-vous avec Hervé tu te souviens ?

- Oui, c'est vrai.

- Tu veux toujours le voir ?

- Oui mais j'aimerai aussi passer un moment seul avec toi.

- T'inquiète, j'y compte bien aussi. Ca tombe bien, nous allons nous arrêter sur l'aire en face de celle où il travaille.

Le camion s'engage sur la voie de décélération et se dirige vers le parking poids lourds. Franck se gare non loin de la station comme ce matin.

- Bien, une bonne douche pour nous deux ensuite on passe aux choses sérieuses.

- OUI CHEF.

- Ben, t’es motivé toi.

- Je suis en chaleur surtout, je te rappelle que depuis hier soir je n’ai pas joui.

- C’est vrai et pas sur que tu puisses ce soir…

Franck rigole en descendant du camion, j’avoue que je le regarde un peu de travers. Nous entrons dans la station et réclamons la clé des douches. L’homme qui nous la tend n’a rien pour nous faire rêver contrairement à Hervé ce matin. Nous faisons notre toilette rapidement, Franck normalement, moi en profondeur, ensuite, nous retournons au camion.

A peine à l’intérieur, il me demande de me foutre à poil. Le ton est ferme et sec. Je retrouve mon mâle d’hier soir. Sans la cage, je serais en train de bander. Pendant que je me dessape, mon Mâle appelle Hervé. J’entends très bien la conversation.

- Salut Hervé, c’est Franck, comme promis ce matin je te rappelle.

- …

- Oui, nous sommes sur l’aire du bouleau blanc. Tu reconnaitras le camion ?

- …

- C’est ça oui, la cabine rouge et remorque blanche.

- …

- Passe un SMS en arrivant,  je t’ouvrirai, en attendant je commence sans toi.

Franck se tourne vers moi et me dit qu'Hervé nous rejoindra dans un moment. Il a tiré les rideaux de la cabine. Il me rejoint sur la couchette me prends dans ses bras et me dit à l’oreille :

- ce soir tu es ma pute.

- Oui chef.

- Donne-moi accès à ta chatte.

Je me mets sur le dos, les jambes en l’air. Sans le plug depuis la douche, je me sens vide. Franck se jette goulument sur ma chatte et commence à la bouffer. Je me  laisse faire, je suis aux anges. Ce mec est le meilleur coup que j'ai rencontré et il est grave vicelard. Je m'abandonne totalement à ses mains qui caressent mon corps et à sa bouche qui fouille mon intimité. Il remonte doucement en embrassant mon ventre et ma poitrine et il prend possession de ma bouche. Ce n'est pas un baiser c'est un bâillon, je sens sa langue explorer tous les recoins de ma bouche. Dans un même temps ses mains s'emparent de mes tétons et commencent à les pincer doucement. Je ne peux faire autrement que gémir. Je suis à lui et il le sait. Il me souffle à l'oreille : "Suce-moi". Le ton est sec, ferme, sensuel, j'adore. J'obéis, trop heureux de prendre en bouche ce superbe mandrin qui tout à l'heure me défoncera.

Je commence à faire aller ma langue le long de cette superbe hampe. Mais Franck n'est pas là pour faire dans la dentelle, il attrape ma tête et s'enfonce au fond de ma gorge. J'ai du mal à respirer et j'ai un mouvement de défense. Non, je ne veux pas lui résister. De moi-même, je place mes mains derrière ma tête. Franck sourit en me disant c'est bien. Je sais que les prochaines minutes vont être dures mais je veux cela. Sa bite commence des allers-retours et à chaque passage va butter au fond de ma gorge. A chaque fois, il maintient la position un peu plus longtemps. Je lutte pour ne pas me défendre. Je bave comme un malade et j'ai les larmes aux yeux. J'ai l'impression que ce supplice dure depuis des heures. Franck prend son pied, cela se lit sur son visage. Enfin, il me libère et je peux reprendre ma respiration. Il me reprend dans ses bras, je suis juste comme une poupée de chiffon entre ses mains.

- C'est très bien, je suis content que tu te sois laissé faire.

- Je veux être à toi.

- Tu le seras ma petite femelle.

En temps normal, je me serai rebellé contre cette appellation mais pas contre lui. C'est trop bon. Il me remet sur le dos sur la couchette et position son gland à l'entrée de ma chatte. Il insère son gland et me demande de respirer un grand coup. Je n'ai pas fini de prendre ma respiration qu'il m'a introduit la totalité des 23 cm dans le cul. Putain, je couine grave. Il reste immobile en moi jusqu'à ce que ce soit moi qui commence à remuer mes fesses afin de le sentir bouger et il commence à me limer en douceur.

Je suis fou de cette bite qui me défonce et qui me transforme un peu plus en femelle. Le portable de Franck sonne. Il y jette un coup d'œil sans perdre le rythme et il me dit que nous allons passer à trois. Il m'embrasse doucement et se retire pour aller ouvrir la portière coté passager. Je vois Hervé grimper à bord. Il porte juste un tee-shirt et un short. En me voyant a poil sur la couchette il dit :

- Vous ne m'avez pas attendu …

- Non, lui répond Franck. Mais Marc va te souhaiter la bienvenue. Allez gamin au boulot.

Je me mets à genou devant Hervé et lui fait glisser son short. Les formes prometteuses se révèlent à ma vue et je prends en bouche, ce membre déjà à moitié dur, qui sans être aussi gros que celui de Franck reste de taille tout à fait respectable. Hervé lâche un soupir de satisfaction et caresse doucement mes cheveux pendant que je le pompe.

Nous nous plaçons sur la couchette de façon à permettre à Franck d'accéder à nouveau à ma chatte. Et je me retrouve embroché des deux cotés.

Les deux mâles me baisent copieusement et commencent à discuter tranquillement comme si je n’étais pas là. Et je me rends compte qu’ils se connaissent et depuis un moment. Hervé s’enquiert de mes performances depuis notre départ. Franck lui répond que je n’ai pas froid aux yeux mais qu’il faut être prudent. Il lui relate l’accrochage sur l’aire avec l’autre routier.  Hervé me donne alors une tape sur la tête et dit :

- Fais gaffe, gamin, je voudrais pouvoir te baiser longtemps.

- Moi aussi, répond Franck. Lui il dira rien, il est bien élevé et il ne parle pas la bouche pleine.

- Je crois bien que ton gars s’est pointé à la station après que vous soyez partis ce matin. Un Scania vert, je crois.

- Oui, c’est ça. Un vrai connard, je te dis. Je pense qu’il marchera les jambes arquées quelques jours, cela ne lui fera pas de mal. Il ne faut pas toucher à mes salopes, pas vrai ?

- Hummm, dis-je, alors qu’il me tape sur les fesses.

- Tu veux pas changer ? demande Hervé.

- Non, mais si tu veux, tu peux te joindre à moi, il y a de la place pour deux.

Quand j’entends ça, j’arrête immédiatement  de pomper Hervé et m’écris :

- Ca va pas non ? Mon cul n’est pas une bouche de métro.

- Gamin, tu recommences à trop parler. Viens t’asseoir sur ma bite face à moi.

- S’il te plait Franck, vous êtes montés comme des ânes vous allez me déchirer.

- Chut, tu me fais confiance ?

- Oui, mais …

- Si tu me fais confiance, tu suis mes instructions, sinon tu prends tes cliques et tes claques et tu te casses ok ?

- Oui, chef !

- Je préfère ça. Viens t’empaler sur ma queue comme une bonne femelle.

C’est dingue, ce type fait de moi ce qu’il veut. C’est vrai que je lui fais confiance. Il est allongé devant moi et je vais m’asseoir sur sa bite bien raide. Il me tiens les mains et me demande de le regarder. Il attrape un bouteille de popper’s en m’en fait renifler une rasade. J me sens chaud. Derrière moi, Hervé positionne son gland contre ma chatte. Il me souffle dans l’oreille de me détendre que tout va bien se passer. Je sens sa bite forcer mon anus. Je suis super ouvert. Franck m’oblige à continuer à le regarder. Il me pince les seins. Mon cerveau a du mal à gérer l’afflux de sensations. Je gémis. Hervé est entré, je le sens et je grimace. Franck présente à nouveau la bouteille de popper’s devant mes narines. Je me shoote. Les deux hommes commencent doucement à me limer. Franck me parle doucement, sa voix m’aide, je veux lui faire plaisir. Et soudain, c’est la délivrance, des millions de couleurs explosent dans mon cerveau, je ne contrôle plus rien. Je suis leur trou et j’adore ça. Les mains de ces deux hommes me caressent partout pendant qu’ils me défoncent. J’en veux encore, je ne veux pas que ça s’arrête. Je ne sais pas combien de temps ça dure mais c’est génial. J’entends comme dans un rêve Hervé dire qu’il va jouir, Franck lui répond que lui aussi. Et le plaisir de mes deux males alpha explose dans mes entrailles et je m’écroule épuisé sur Franck qui m’embrasse et me dit :

- C’est bien gamin, c’est très bien.

Par Pascal - Publié dans : Une semaine en camion
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