Lundi 3 juin 1 03 /06 /Juin 19:57

Nous roulons depuis une petite heure maintenant. Comme nous avons un objectif horaire pour livrer, hors de question de faire une pause avant. Je repense à la soirée que j'ai passée avec Franck et Adrien.

Tout a commencé par un bon repas, sympa entre potes. A notre retour aux camions, Adrien s'est montré assez pressant. Franck lui disait de reporter, que j'avais déjà eu une rude journée. Moi, je voyais ces deux mâles face à moi. Je me suis approché d'eux. Je leur ai mis la main au paquet à tous les deux en leur demandant de me faire oublier l'autre lapin et de me faire grimper au rideau. J'ai eu immédiatement toute leur attention. Franck m'a regardé et a dit :

- Tu es sûr, gamin ?

- Oh oui, je suis sûr, j'ai envie de me faire baiser par des vrais mecs. Vous êtes bien des vrais mecs ?

- Franck, Amène cette salope à l'intérieur du camion,  on va l'embrocher comme un goret.

- Putain ouais, il le mérite.

J'ai été poussé à l'intérieur de la cabine. Mes fringues ont été virées et je me suis retrouvé à poil face à deux mâles en rut. Franck m'a dit que j'allais prendre cher. Il m'a fait mettre à genou et il a enfoncé son chibre dans ma gueule. Toujours aussi grosse sa bite, humm, j'adore ça. Comme je n'avais plus ma cage, machinalement, j'ai commencé à me branler. Adrien m'a demandé si j'étais autorisé à me toucher. Je n'ai pas eu le temps de répondre qu'une baffe a atterri sur ma joue.

- Attrape-lui les mains Adrien !

- Voilà c'est fait.

- Regarde dans le vide poche à la tête de la couchette, il doit y avoir une paire de menottes …

- Je les ai trouvées.

- Ok, attache-lui les mains dans le dos. Toi, gamin, t'as intérêt à aimer la bite parce que tu vas en bouffer crois moi.

Là, je les avais bien chauffés. Je salivais grave autour de la bite de Franck quand j'ai vu se pointer celle d'Adrien, toute aussi belle et toute aussi raide. Deux belles queues, juste pour moi, j'étais gâté, mais ça voulait dire aussi qu'il allait falloir assurer. Ca n'était pas des minets en face.

Je passais d'une bite à l'autre au gré de leurs envies. Je ne les suçais pas, ils me limaient la gueule comme Franck l'avait fait lors de notre première rencontre. Plusieurs fois je manquais d'air et je voyais le sourire sadique de mes deux bourreaux. Mais dès qu'ils me laissaient un peu d'air, c'était moi qui leur lançais des regards de pute langoureuse et affamée. Les remarques de leur part n'étaient pas spécialement tendres, j'ai eu droit à tout depuis bouffeuse de bite à sac à foutre. Ils m'expliquaient en détail comment ils allaient me défoncer la chatte et m'engrosser.

Franck a récupéré son flacon de popper's et m'en a donné une rasade à sniffer. Putain, je grimpais grave. J'ai commencé à onduler du cul pour bien montrer que j'étais en chaleur. Adrien a dit :

Il est à point.

Pas encore, il va réclamer crois moi. Laisse le grimper encore un peu.

Je gémissais et je couinais comme une chienne. Je réclamais mon mâle et ma dose. Franck m'a demandé si je voulais me faire mettre. J'ai fait oui de la tête. Il m'a dit : "A tout prix ?". Comme une conne, j'ai fait oui. Ils m'ont alors attrapé et comme le premier soir, je me suis retrouvé sur la couchette les pattes en l'air et la chatte offerte. Pour que je sois moins gêné, Franck a positionné mes bras au dessus de ma tête. Adrien a retiré le plug de mon cul. Putain cette impression de vide  super désagréable. Je réclamais de la bite : "baisez-moi bordel". Franck me regardait, l'air toujours aussi sadique, il attrapa ma bite et commença à me branler. Pendant ce temps, Adrien commençait à me travailler les tétons.

- Putain qu'est ce que tu fais Franck, occupe toi de ma chatte.

- Du calme, petite pute, on n'est pas aux pièces.

-Arrêtez bandes de tarlouzes et baisez-moi. Ouch !

Le cri, c'est parce que je venais de prendre une claque sur les couilles. Franck venait par ce geste m'expliquer que je devais rester poli et respectueux. A chaque fois qu'il sentait que j'étais sur le point de jouir, tous les deux lâchaient l'affaire et me regardaient souffrir en gueulant. Franck m'a alors expliqué qu'ils allaient me faire jouir et ensuite ils me défonceraient l'un après l'autre. J'ai dû changer de couleur, parce qu'il a ajouté : "méfie-toi de ce que tu me demandes, parce que des fois je te le donne".

Juste après ça, ils se sont déchainés sur ma bite et mes seins. J'avais beau tout faire pour résister, la bataille était perdue d'avance. Je me suis mis à jouir en gueulant comme un putois. Putain, que c'était bon.

- Tu as bien joui salope ? Bien, maintenant il faut payer.

- Non, Franck, s'il te plait, ne fais pas ça …

- Quand on veut jouer les salopes faut assumer gamin.

- Non les mecs, déconnez pas. Attendez juste un peu soyez sympas quoi …

- Des clous gamins.

Il a donné un putain de coup de rein, j'ai vraiment cru qu'il m'embrochait. J'ai gueulé comme un goret. Franck me traitait de tous les noms, là c'était de la baise hard, zéro tendresse, j'étais un trou. Adrien, par compassion, m'a donné un peu de popper's tout en me glissant à l'oreille qu'il attendait son tour pour me faire payer mon insolence. Ca pour payer, je payais et le prix fort encore. La bite de Franck était en train de me ravager le cul. Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais j'ai accueilli sa jouissance comme une délivrance. Il s'est retiré et immédiatement Adrien a pris sa place. J'ai demandé grâce, le temps de pouvoir souffler un peu. Tous les deux se sont regardés, puis se sont tournés vers moi et Adrien a dit en forçant sa virilité en moi : "Non". Oh bordel être une pute n'est pas de tout repos. Je réfléchirai maintenant avant de chauffer mon mâle, surtout s'il est accompagné. J'étais en train prendre la plus cuisante leçon de ma vie. Et contrairement à la première fois, je n'ai pas eu d'orgasme anal. Franck l'encourageait à me défoncer et moi j'essayais de retrouver mon souffle. Cette impression d'être juste une poupée au service du plaisir d'un mâle est à la fois fascinante et terrifiante. Quand enfin je l'ai senti se répandre en moi, j'ai eu la sensation d'être comblé. Pour tout dire, je l'ai même remercié de m'avoir rempli.

Je suis encore dans mon souvenir quand Franck me signale que nous allons arriver. Il me demande à quoi je pense. La lueur dans mon regard le renseigne et le fait sourire et il me dit que ce n'était qu'une première fois, il y en aura d'autres.  La question que je me pose : dois-je être inquiet ?

Le déchargement-rechargement se fait rapidement. Quand nous repartons, Franck m'explique que nous déposerons ce soir le camion à sa boite et que la prochaine nuit se fera chez lui.

Par Pascal - Publié dans : Une semaine en camion
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